
En 2013, une étude Email-Brokers révélait que 81 % des entreprises françaises en faillite n’avaient ni site internet ni présence sur les réseaux sociaux.
Un chiffre qui illustre parfaitement l’importance de la présence en ligne pour la survie d’une activité.
À l’époque, se priver d’une vitrine numérique signifiait renoncer à toucher un large public et à capter de nouvelles opportunités commerciales. Mais en 2025, le paysage a évolué : être visible ne suffit plus, il faut savoir exploiter les bons outils… et c’est là que l’IA change la donne.
L’absence numérique : un handicap mortel
L’étude de 2013 montrait une corrélation forte entre absence de présence numérique et faillite.
Bien qu’elle ne soit pas la cause unique, ne pas exister sur Internet reste aujourd’hui un handicap majeur pour attirer et fidéliser les clients.
De la simple présence à la présence intelligente grâce à l’IA
En 2013, créer un site et alimenter les réseaux demandait du temps, un budget et des compétences. En 2025, l’intelligence artificielle démocratise ces actions :
- Création de contenus optimisés pour le SEO en quelques minutes.
- Analyse concurrentielle pour trouver les bons mots-clés et tendances.
- Automatisation de la relation client via chatbots et assistants virtuels.
Résultat : même les petites entreprises peuvent aujourd’hui rivaliser avec de grands acteurs, à condition de mettre l’IA au cœur de leur stratégie digitale.
Pourquoi l’importance de la présence en ligne est encore plus critique en 2025
Avec la concurrence accrue, un site inactif ou mal optimisé est invisible.
L’IA permet non seulement de maintenir une présence constante, mais aussi d’adapter le contenu en temps réel aux attentes du marché.
Cela devient un levier clé pour générer de la confiance, améliorer le référencement naturel et augmenter le chiffre d’affaires.
Internet hier, l’IA aujourd’hui
En 2013, la question était : « Avez-vous un site web ? »
En 2025, elle devient : « Utilisez-vous l’IA pour exploiter l’importance de votre présence en ligne ? »
Ne pas saisir cette opportunité revient à commettre la même erreur que ces 81 % d’entreprises en faillite il y a dix ans.